La Fabrique des Conditions de Travail et Organisation (CTO)

Présentation

On peut innover en matière de conditions de travail en agissant au niveau de l’organisation du travail. C’est le postulat de la Fabrique CTO - Conditions de travail et organisation, le dispositif d’innovation du réseau Anact-Aract qui fonctionne par appels à manifestation d’intérêt. Il entend repérer, faire émerger, valoriser des projets qui :

• traitent de problématiques émergentes de conditions de travail, rencontrées par les entreprises, les organisations publiques ou privées, ou les branches ;
• s’appuient sur la conception participative, le dialogue et l’expérimentation de nouvelles formes d’organisation du travail ; 
• impliquent des coopérations avec des représentants de l’écosystème d’appui aux “entreprises” (acteurs de branche, partenaires sociaux, acteurs du développement territorial, mutuelles…) ; 
• permettent de soutenir l’innovation organisationnelle, c’est-à-dire, la capacité des organisations de travail à concevoir et expérimenter, de manière participative, des modes de travail plus adaptés aux besoins des travailleurs et aux exigences de l’activité. 

Les services

La Fabrique lance des appels à manifestation d’intérêt destinées, selon les cas, aux organisations publiques et privées. Les projets retenus suite à une sélection font l’objet :

• d’un soutien financier sous la forme d'une subvention publique, 
• d’un soutien opérationnel à la conduite de projet, 
• d’actions de valorisation et de partage d’enseignements.

Les 7 fondamentaux de la Fabrique 

1. Explorer des sujets nouveaux touchant aux conditions de travail 
2. Favoriser la conception et l’expérimentation participative 
3. S’appuyer sur la coopération partenariale et l’action collective (faire travailler plusieurs structures ensemble)
4. Soutenir des projets ayant des ancrages territoriaux ou sectoriels 
5. Aider à faire émerger et structurer une demande sociale
6. S’articuler avec les acteurs de la politique publique afin de pérenniser les actions
7. S’inscrire dans une dynamique de production et de partage de “communs de la connaissance”