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L’originalité de la démarche de prévention des risques menée dans cet établissement réside dans une conduite de projet qui s’est voulue essentiellement interne et participative.
Le travail dit « social » comporte plusieurs dimensions dont certaines peuvent lourdement peser sur la qualité de la prise en charge des bénéficiaires par les salariés et sur généralement les conditions de réalisation de leur mission au quotidien.
Certains métiers ont connu des populations plus ou moins importantes d’hommes ou de femmes : fruit de représentations sociales, des filières scolaires, de l’offre d’emploi, de l'histoire… Mais lorsque dans une entreprise, des hommes et des femme
Dans cette entreprise, la situation s’est dégradée au point de contraindre l’ancien directeur à démissionner.
Au départ, une demande générale… et l’arrivée, un diagnostic recentré sur un service en particulier.
Le métier de mareyeur évolue rapidement face à une demande de plus en plus grande et dans un contexte réglementaire plus normé et contraint particulièrement au niveau des obligations d’hygiène et de sécurité alimentaires.
Aujourd’hui encore, certaines entreprises s’en remettent entièrement à des cabinets d’études qui leur livrent du « sur-mesure » à tous les niveaux. Mais les résultats ne sont pas toujours probants.
Lorsqu’en milieu de travail un salarié déclare souffrir de symptômes liés aux risques psychosociaux, il n’est pas rare que dans un premier temps il se mure dans le silence ou le déni par peur de perdre la face ou carrément son emploi.
Les substances cancérigènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR) sont utilisées dans de nombreux métiers, particulièrement dans l’agriculture.
Il n’est pas facile dans une institution de renouveler des pratiques installées depuis longtemps dans les habitudes, au point même qu’elles en sont devenues caractéristiques d’une certaine culture interne.