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Publié le 01/09/2005
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Ce centre de formation professionnelle subit depuis deux ans de lourds changements : RTT (réduction du temps de travail), accroissement important de la concurrence, nouvelle politique qualité, diversification des prestations de formation et des modes de financement, complexification des procédures administratives.
Pour les salariés, cette évolution de la charge est d'autant mal vécue que celle-ci n'est pas reconnue. Au stress évoqué s'ajoute donc la démotivation et un "mal-être" diffus qui, pour certains, prend la forme de dépressions (notamment chez les assistantes).
Suite aux plaintes exprimées par les salariés et à l'augmentation de l'absentéisme, le centre a souhaité faire le point sur la charge de travail de son personnel.
La direction fait appel à ARAVIS pour réaliser un diagnostic. Il s'agit d'objectiver cette charge et d'en faire un objet de dialogue interne. Elle en attend des critères de performance mieux adaptés aux changements.
Le diagnostic est conduit auprès de deux groupes : les formateurs et les assistantes. L’activité des équipes et des personnes est analysée selon trois grandes catégories :
Classiquement, apparaît un écart important entre charge prescrite et réelle.
La charge subjective révèle les facteurs de tolérance :
Engager un débat sur la charge de travail permet d’obtenir une vision partagée des problèmes et de cibler des solutions portées par tous.
Il existe souvent une crainte d’organiser des échanges sur ce thème de peur de voir apparaître des positions inconciliables entre direction et salariés et de dégrader ainsi les relations sociales. Il est nécessaire de bien organiser le débat pour qu’il soit efficace.
Il est donc utile de travailler sur l’ensemble des aspects de la charge et distinguer charges prescrite, réelle et subjective. L’écart entre charges prescrite et réelle permet d’analyser l’adéquation des moyens aux objectifs et d’améliorer l’organisation du travail en fonction des évolutions de l’activité. Faire exprimer la charge subjective permet d’identifier les conditions d’acceptation de l’activité (souvent liées à la reconnaissance).
Les solutions sont à rechercher dans l’adaptation des modes de management. On distingue trois volets :